Tout dépend de la poussée inflammatoire. Il faut apprendre la patience. La peau, c’est le terminal. Si l’inflammation arrive dans la peau, cela signifie qu’en amont, tous les processus doivent être rééquilibrés. Il y a souvent des problématiques d’intestins poreux, de foie encombré, de stress…
C’est une approche globale. Pour certains, la nutrition peut suffire. Pour d’autres, il sera judicieux d’associer aux traitements conventionnels allopathiques prescrits par des médecins ou dermatologues, une complémentation micro-nutritionnelle. Sans oublier les traitements topiques pour hydrater, soutenir l’effet barrière et la cicatrisation de la peau en local. En agissant sur plusieurs voies, les résultats finissent toujours par arriver. »