Comprendre ma peau
Le lavage répété des mains, le geste barrière nécessaire
Notre santé est aujourd’hui entre nos mains.
Car face à la pandémie de COVID-19, le lavage répété des mains reste le premier et le plus simple des gestes barrières.
Comprendre ma peau
Notre santé est aujourd’hui entre nos mains.
Car face à la pandémie de COVID-19, le lavage répété des mains reste le premier et le plus simple des gestes barrières.
On le sait, les mains sont l’un des principaux moyens de contamination. Voilà pourquoi l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande de se laver les mains très fréquemment et d’utiliser un désinfectant pour les mains à base d’alcool lorsque l’eau n’est pas accessible. En moins d’un an, nos habitudes de vie ont été totalement bouleversées par l’apparition du nouveau coronavirus et nous avons tous adopté ce geste barrière essentiel pour lutter contre la transmission.
L’hygiène des mains a fait des progrès remarquables. De nouveaux réflexes ont été pris grâce à l’éducation autour de l’hygiène des mains et tant mieux pour la santé de tous. Les chiffres des enquêtes menées depuis le début de l’épidémie de COVID-19 sont éloquents.
100 % des personnes interrogées affirment se laver les mains après chaque sortie, contre 67 % avant le début de l’épidémie1.
98 % se lavent les mains aussi souvent que possible, contre 38 % avant1.
99 % des soignants se lavent les mains encore plus souvent qu’auparavant2.
Soyons clairs, le lavage des mains avec du savon ou du gel désinfectant reste plus que jamais un geste vital pour se protéger et protéger ceux que l’on aime. Ces produits ont une action biocide efficace, qui permet de détruire virus, bactéries et levures, et ont fait leurs preuves pour se laver les mains sans savon et éviter la contamination à la COVID-19. Nous avons d’ailleurs tous notre petit désinfectant mains toujours avec nous. Mais au fil des mois, les nettoyages des mains répétés peuvent avoir des effets secondaires évidents sur la peau et nous sommes très nombreux à l’avoir constaté. Sécheresse cutanée, irritations, démangeaisons, sensations de brûlure, gerçures, fissures et même eczéma de contact… Les manifestations sont diverses et peuvent aller jusqu’à provoquer des fissures, avec un risque d’infection. Les adultes comme les enfants sont touchés, avec un risque aggravé en cas de peau sèche ou atopique.
Dans le grand public :
84% des personnes interrogées se plaignent de dessèchement de la peau, avec démangeaisons, craquelures et irritations. (source : Etude YouGOV pour LSA "La beauté au temps du COVID")
Chez les soignants :
97 % des professionnels de santé déclarent des problèmes dermatologiques liés à l’utilisation répétée de gel hydroalcoolique, dont 86 % de dermatites.
Pourquoi a-t-on parfois la désagréable sensation que le désinfectant mains brûle la peau? Que la peau tiraille après utilisation ou que petit à petit notre peau supporte moins bien ce geste barrière essentiel ?
Les effets négatifs du savon et du gel désinfectant mains sur la peau sont liés à leur pouvoir désinfectant. Leur force sur les virus fait aussi leur faiblesse pour la peau.
D’où vient précisément l’efficacité des désinfectants mains sur les virus ? En réalité, l’action virucide de ces lotions antibactériennes pour les mains repose sur leur capacité à détruire les membranes, composées de lipides, qui enveloppent les virus enveloppés.
Problème : notre peau est elle aussi largement constituée de lipides ! L’utilisation intensive de gels hydroalcooliques ou de désinfectants mains à base d’alcool abîme donc les lipides qui forment une barrière protectrice à la surface de la peau et la rendent plus fragile. Car une peau sans lipides, autrement dit sans gras, est une peau sèche, donc sujette à tous les désagréments cités juste plus haut.
Ensemble, le ciment intercellulaire et le film hydrolipique participent à la barrière cutanée :
À force d’utiliser du gel hydroalcoolique ou de se laver sans cesse les mains, les lipides de la peau sont dissous. La barrière cutanée n’est plus efficace, la perte en eau s’accélère et la peau présente tous les troubles de la peau sèche, très sèche ou fragilisée : irritations, démangeaisons, sensations de brûlure, gerçures, fissures…
Les autorités de santé ont publié des étapes d’hygiène des mains à suivre lorsque vous vous nettoyez les mains. Il faut commencer par choisir un savon doux non décapant, éviter l’eau trop chaude et se sécher les mains délicatement. Pour le désinfectant mains liquide, choisir des produits avec un minimum de 60 % d’alcool.
Enfin, il faudrait absolument appliquer un soin émollient après chaque lavage ou désinfection des mains au gel hydroalcoolique. Seul un émollient, c’est-à-dire un soin hydratant qui assouplit les tissus cutanés, peut compenser la perte de lipides de la peau.
Dans la vie réelle, cette stratégie paraît bien difficile à mettre en pratique pour tout le monde et encore plus pour les soignants qui enchaînent les lavages de mains. Pas le temps, pas le produit sous la main… La sécurité sanitaire passe avant la souffrance de la peau.
Face à cette problématique universelle urgente, NAOS a décidé de réagir et a mis au point avec son laboratoire dermatologique Bioderma, le 1er soin barrière mains double action, qui élimine à la fois +99,9% des virus1, bactéries2 et levures3, comme un gel hydroalcoolique et relipide comme un soin émollient. Un nouveau geste tout en un, Biphase Lipo alcoolique.